Depuis quelques années, la justice Centrafricaine est devenue une cour de la corruption et de l’injustice. Les magistrats en passant par le ministre, jusqu’au procureur général, sont devenus des coursiers d’un escroc international, dénommé Sani Yalo, avec la complicité du Président Centrafricain, Faustin Archange TOUADERA.
Des hommes d’affaire, invités pour investir en République Centrafricaine, après avoir été reçus par le Chef de l’Etat pour être réconfortés et avoir confiance, sont ensuite escroqués avec le concours du ministre d’Etat, ministre de la justice, Monsieur Arnaud Djoubaye Abazene. Tout cela se fait, sous le contrôle du Président Centrafricain.
Une justice dont le ministre dispose d’une milice et a un dossier de crime à la CPI. Le fonctionnement de cette justice fait subir tous les maux, aux investisseurs de toutes nationalités. La justice Centrafricaine est aujourd’hui, une prison d’office pour tous les étrangers Africains, qui parfois, par malheur se retrouvent coincés suite à un problème. L’étranger Africain n’a jamais raison.
Lors d’une enquête, des jeunes Africains de nationalités diverses, on peut citer des Togolais, Béninois , Ivoiriens, Camerounais, Congolais, Sénégalais, Maliens etc., sont maltraités dans les prisons Centrafricaines. Plupart d’entre eux ont été placés sous mandat de dépôt, et oublié par cette justice corrompue, qui a déjà fini de dépenser l’argent reçu pour l’exécution de ce mandat.
Le ministre de justice Arnaud Djoubaye Abazene et son procureur général Éric Tambo, sont impliqués dans plusieurs cas de corruptions, selon une enquête, d’une organisation internationale, dont nous avons les copies. Il est donc important que les dirigeants des pays Africains, les investisseurs Africains, mettent une croix sur toutes formes de partenariat ou de coopération avec les dirigeants actuels de la République Centrafricaine, car l’actuel Président n’a pas la gestion du pays en main, mais plutôt un groupe mafieux, dirigé par Sani Yalo.
Josiane MBATO