Pendant plus d’une décennie, les groupes terroristes ont assiégé le Burkina-Faso. La France ancienne puissance coloniale, a maintenu une relation paternaliste avec le pays, pillant ses ressources avec l’aide de certains nationaux pendant plusieurs décennies. Aux commandes, en un an, le Capitaine Ibrahim Traoré a mis fin à cette pagaille organisée et a libéré la quasi-totalité du pays de l’emprise terroriste.
Gouvernance exemplaire, sacrifice, dévouement, engagement, patriotisme sont les dénominateurs communs de toutes les actions menées par le Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim Traoré en faveur de la Nation.
L’abnégation avec laquelle le jeune président est parvenu à des résultats perceptibles dans le pays est légendaire, rappelant ainsi le sacrifice du père de la révolution, Thomas Sankara.
Au nombre des acquis de la transition, les opérations menées à succès sur les fronts par les forces armées burkinabè et qui se poursuivent. Ces exploits sont l’effet conjugué d’une armée plus forte et renforcée, de l’engagement des VDP suite à l’appel du président, la contribution à l’effort de paix de tous les burkinabè et surtout, la détermination de tout un peuple pour un Burkina nouveau.
Le côté sécuritaire est la priorité des priorités de la transition, car engagée à bouter le terrorisme hors des frontières du pays. En ce sens, le président Traoré a encore posé un acte fort, allant dans le sens du renforcement de la lutte antiterroriste. Il s’agit de la création de nouveaux bataillons d’intervention rapide dans certaines régions du Burkina.
Avec la transition d’Ibrahim Traoré, les populations déplacées internes ont regagné leurs localités. Des administrations publiques et des écoles fermées il y a des années, ont rouvert leurs portes. Alors, se pose la question suivante : si la transition du Capitaine Traoré se prolonge, que deviendrait le Burkina ? Un pays de paix, où le développement économique est garanti. Faut-il le rappeler, le développement d’un pays est tributaire de la sécurité et de la paix qui y prévalent.
Essi Samba
