Les forces vives de la nation adhèrent à la politique de stabilité que le chef de l’État Faure Gnassingbé s’est mis à construire ces dernières décennies au Togo. Dans une démarche de consolidation de cette politique, femmes, jeunes, décideurs politiques, médias et forces de défense et de sécurité échangent pour faire de la cohésion nationale et la paix, les préalables aux prochaines élections.
Cette démarche s’avère indispensable pour le pays à quelques semaines des élections législatives et régionales. Cette nouvelle page que le pays s’apprête à écrire dans son histoire démocratique exige une démarche participative de toutes les parties.
Ainsi, depuis l’annonce de la date des élections ramenée au 20 avril prochain, les parties prenantes du processus électoral s’attèlent à garantir un scrutin apaisé. Quelques jours plus tôt, c’est la Haute autorité de l’audiovisuel, de la communication (HAAC), l’institution de régulation des médias a organisé une activité avec les professionnels des médias pour une bonne gestion de la couverture médiatique à ces temps d’élections.
Tous ces initiatives participent à l’enracinement de la cohésion sociale, à la consolidation des efforts de paix et de sécurité, des conditions nécessaires pour des élections libres, transparentes et apaisées. Comme l’a souligné le chef de l’Etat lors du deuxième congrès statutaire de son parti Unir, le 26 février dernier. « Notre responsabilité première, c’est organiser des élections dans la paix et dans la sécurité ».
Essi Lanvi