Plusieurs sont ces médias impérialistes complices des apatrides burkinabè, qui prennent le plaisir de diffamer non seulement les autorités du Burkina Faso, mais aussi ceux qui luttent à leurs côtés pour l’intérêts de la Nation. Le MondAfrique est l’un de ces médias pro-impérialistes, qui suffoque à l’idée de voir que ses efforts visant à faire échouer la transition du capitaine Ibrahim TRAORE, ne donne pas des résultats escomptés.
Les panafricanistes, les soutiens à la transition sont devenus alors les cibles de ces médias complices des apatrides et de leurs alliés impérialistes. Au rang de ses soutiens, le burkinabè Ibrahim Maïga résident aux Etats-Unis, qui a affiche clairement son intérêt pour l’avancement de la lutte contre les ennemis du Faso et pour la restauration de la paix, de la souveraineté du pays des hommes intègres.
Rien que pour son engagement dans l’éveil de conscience de ses compatriotes et du peuple sahélien, il subit des menaces des apatrides et les agressions médiatiques. La question que se posent les burkinabè ainsi que des panafricanistes est de savoir s’il est interdit aux individus qui adhèrent à la nouvelle dynamique du Capitaine Ibrahim TRAORE et de ses collaborateurs, de manifester leur soutien ?
Ce qui intrigue le plus ces derniers est qu’il est permis à ces personnes qui cherchent à nuire aux intérêts du Faso de s’exprimer librement et de débiter des âneries sur ces médias mais ceux qui ne sont pas de leur cercle n’ont pas droit d’expression. Sinon ils sont taxés d’incitateurs à la violence ou de dénigrement d’une ethnie. Estimer que le président du Faso, chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim TRAORE, n’agit que sur instruction de Ibrahim Maïga est une manière de dénigrer le leader patriote et révolutionnaire.
Celui-là même qui depuis deux (02) ans, tient les rênes du Burkina Faso, prend des initiatives louables dans l’intérêt de son pays et de son peuple, est reconnu aujourd’hui pour son intelligence, son éloquence et sa bienveillance. Comme le disant un analyste, les médias impérialistes et leurs complices, apatrides déstabilisateurs du Faso devraient chercher leurs poux sur d’autres têtes et non sur celles des burkinabè. Vigilance et prudence s’imposent aux burkinabè face à ces formes de manipulation et de dénigrement des leaders révolutionnaires.
Amadou S.