Un arrêt sur la gestion de la chose publique, deux (02) années après l’arrivée du MPSR2, était essentiel pour des burkinabè regroupés en associations de soutien à la transition. Dans diverses localités du Burkina Faso, ces citoyens se sont mobilisés soit à travers une marche ou un meeting, pour faire un clin d’œil sur les actions menées, réaffirmer leur soutien et exhorter les autorités à la poursuite de leur noble mission.

A Bobo-Dioulasso et à Dédougou par exemple, les membres d’associations de veille citoyenne se sont exprimés sur le bilan des actions des autorités. Un bilan jugé satisfaisant, au vue des acquis dans les domaines prioritaires, notamment la sécurité et le développement socioéconomique. Les grandes lignes des réalisations dans ces domaines ont été retracées devant les participants.

Il s’agit pour eux de l’augmentation de la puissance des forces combattantes, pour une lutte plus efficace contre le terrorisme, favorisant le contrôle de 69% du territoire national, la réinstallation des personnes déplacées et la reprise des services administratives et activités scolaires dans diverses localités ; l’élargissement de l’assurance maladie aux FDS et aux VDP ; l’offensive agropastorale et halieutique avec un appui considérable des acteurs agricoles, pour l’autosuffisance alimentaire.

Selon eux, le gouvernement de la transition sous l’impulsion du président Ibrahim TRAORE, a œuvré pour la réduction des coûts de certains examens médicaux ; la dotation des centres de santé régionaux en logistiques sanitaire de qualité et la dotation des provinces, des cliniques mobiles pour la prise en charge sanitaire des patients en milieu rural. C’est sans oublier la politique d’industrialisation dans laquelle s’est engagé le président du Faso, pour la transformation locale des produits du terroir.

Ces citoyens burkinabè ont également exprimé leur détermination à soutenir la transition dans ses efforts, pour la sécurisation effective du territoire, la lutte contre l’impérialisme ainsi dans les œuvres visant la construction d’une Nation burkinabè forte, souveraine et prospère.

Sonia Djala

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