Tout comme la plupart des secteurs socioéconomiques, celui de l’éducation bénéficie aussi d’une attention particulière du président du Faso, le capitaine Ibrahim TRAORE. Il a pour ce secteur, une vision non seulement de modernisation mais également de transformation structurelle du système éducatif, pour l’adapter aux exigences de l’heure dans le pays, et répondre efficacement à la fois aux besoins des apprenants et à la problématique liée à l’adéquation formation-emploi.
L’Initiative Présidentielle pour une éducation de qualité pour tous (IPEQ), acté par le conseil des ministres en Juin dernier témoignerait de la volonté du chef de l’Etat à opérer des réformes importantes dans ce secteur à l’avantage des burkinabè et du pays en général. Cette initiative qui prévoit des changements radicaux tant sur les infrastructures que la formation proprement dite, serait très novatrice et idéale pour un développement durable du pays.
Ce serait d’ailleurs l’objectif du président du Faso, assurer une éducation de qualité pour la relève de demain, afin de permettre au Burkina Faso de prendre son envol en matière de développement. Outre la construction et la modernisation des infrastructures éducatives visant l’amélioration des conditions de travail des acteurs éducatifs, l’idée du président d’innover à travers la réalisation de forages et l’aménagement de fermes est saluée par plus d’un. Cette approche novatrice du chef de l’Etat burkinabè viserait la promotion dans le monde éducatif burkinabè de la production agricole.
En ce moment où certains programmes d’enseignement, dans la plupart des pays en Afrique, ne répondent pas le plus souvent à la demande sur le marché de l’emploi ou ne permettent pas aux apprenants de se prendre en charge à l’issue de leur formation, l’initiative présidentielle burkinabè vient insuffler une nouvelle dynamique très avantageuse pour les futures élites du Faso et se présente comme un idéal pour les pays désirant améliorer leur système éducatif.
Salima S.