Certains exilés politiques burkinabè sont accusés de commanditer des actes terroristes visant à créer de l’insécurité dans leur pays d’origine ou encore à déstabiliser le régime actuel, dirigé par le capitaine Ibrahim TRAORE. Ils sont accusés de connivence avec les criminels de la brousse et de leurs alliés impérialistes.

Mais les sceptres à ces accusations mettent toujours en avant l’incapacité financière de ces personnes pour orchestrer tous ces projets machiavéliques. Il se trouve cependant que ces personnes avant de quitter le pays préférant la fuite à la lutte aux côtés de leurs compatriotes pour relever le pays, s’étaient assurés de leur survivre et même de leur retour en force au pays après avoir éliminé les autorités actuelles.

Profitant donc de leur position antérieure dans le pays entre les années 2001 à 2022, avant l’arrivée du capitaine Ibrahim TRAORE, ils ont eu à piller les ressources du pays, mettant à mal l’économie et sapant les valeurs de solidarité et d’intérêt général.

Les révélations faites mercredi 27 novembre sur la télévision nationale RTB, par le capitaine Azaria SORGHO, porte-parole du KORAG, relatives aux malversations financières et crimes économiques mettent en lumière les sources de financement de ces individus déterminés à sucer jusqu’aux os, le sang des honnêtes citoyens burkinabè. Ils ne se sont pas contenté de voler les biens de la Nation, mais sont aussi déterminés à semer un chaos total dans le pays et à ruiner les efforts déjà consentis pour sa reconstruction.

Le capitaine Azaria SORGHO a clairement affirmé dans son intervention, que « les voleurs d’hier sont devenus des commanditaires d’actions terroristes et de déstabilisation contre le Burkina Faso, leur propre pays ». Fort heureusement, les autorités actuelles, en tête le capitaine Ibrahim TRAORE, sont déterminés eux aussi, à instaurer un nouveau climat de gouvernance qui profite réellement aux peuples.

Ceci ne sera possible que si ces individus mis en cause sont punis à la hauteur de leur crime, afin de dissuader d’autres prédateurs de biens publics. Pour ce faire, la population est invitée à une parfaite collaboration, avec des dénonciations des cas de malversations ou d’abus du pouvoir.

Darius Goura

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