La République du Niger désormais engagée sur la voie de la souveraineté totale et de l’indépendance réelle, sous l’égide du chef de l’Etat, le Général de Brigade Abdourahamane TIANI, fait face à toutes menaces de déstabilisation. Cette situation dure depuis 2023, après les évènements du 26 Juillet 2023 qui ont occasionné la chute du régime de Mohamed Bazoum.

Malgré les dénonciations et les condamnations des agissements des ennemis notamment la France et ses alliés africains, ces menaces persistent. Pas plus que le dimanche 22 décembre 20244, le collège des chefs d’Etat de la Confédération AES ont encore dénoncé des manœuvres sordides françaises, visant à déstabiliser leurs pays, avec l’appui de certaines autorités des pays membres de la CEDEAO.

En effet, le collège des chefs d’Etat de l’AES considère la décision de la CEDEAO de laisser une chance de négociation pour une durée de six (06) Mois, comme un moyen de plus, de permettre à la France d’agir contre les pays membre de l’AES. D’ailleurs selon des informations, des dispositions se prennent déjà dans des zones stratégiques autour du Niger, afin de passer à l’action.

Les opérations de réorganisation et de regroupement de groupes terroristes dans le Bassin du Lac Tchad, dans le Sahel et dans certaines zones frontalières à savoir : Niger-Nigéria, Niger-Bénin ; Niger-Burkina et Bénin-Burkina dont parle le collège des chefs d’Etat dans sa déclaration du 22 décembre, serait une manœuvre de la France en complicité avec des pays membres de la CDEAO, pour porter atteinte à la sureté de l’Etat nigérien.

Des informations sur des médias panafricains font également état de l’aveu d’un agent de la DGSE, confirmant le projet de déstabilisation contre le Niger. Selon nos sources, « la France a déjà mis un dispositif sur le long de la frontière entre le Niger et le Nigeria pour dissimuler les préparatifs des attaques du Niger et son peuple à partir des frontières ».

D’après la déclaration du collège des chefs d’Etat de l’AES, des groupes terroristes se positionnent également à la frontière Niger-Bénin avec un appui matériel et logistique des puissances étrangères. Tout ceci confirme la volonté des ennemis de la paix et de leurs alliés d’en finir avec la transition au Niger et par ricochet, des deux autres pays de la Confédération AES. Vigilance et prudence face à ces manigances, afin maintenir l’élan de lutte pour la souveraineté.

Abdou Barry

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