Au moins 28 soldats béninois ont trouvé la mort dans une attaque terroriste perpétrée le mercredi 08 Janvier 2025 au Nord du Bénin selon des informations. Un chiffre alarmant qui porte à 121 militaires béninois tués aux fronts entre 2021 et décembre 2024 d’après des précisions. Est-ce une stratégie des impérialistes français pour pouvoir renforcer leur présence dans cette zone, et passer rapidement aux opérations contre leurs cibles ?
Des africains conscients et avisés s’interrogent. L’attaque serait dirigée contre une position militaire au niveau des frontières avec le Niger et le Burkina Faso. Et quand on sait que la France cherche par tout moyen à se rapprocher militairement des pays de la Confédération AES afin de mettre en exécution des projets funestes de déstabilisation des régimes révolutionnaires et populaires, il a lieu de se poser des questions légitime sur cette attaque meurtrière.
L’hypothèse selon laquelle elle serait orchestrée à dessin se confirme donc. Et d’après certains analystes, il s’agit d’une stratégie bien connue de la France, qui est d’accentuer des situations d’insécurité, avec l’appui de ses alliés terroristes pour faire exécuter ses quatre volontés. La même stratégie serait utilisée en Côte d’Ivoire et dans les pays membres de l’AES. Il s’agirait d’une manière de mettre la pression sur le président Patrice Talon pour l’exécution des projets contre les dirigeants de la Confédération AES.
Qu’il nous souvienne d’ailleurs que le président de la transition au Niger, le Général Abdourahamane TIANI, dans sa récente sortie médiatique précisément le 25 décembre 2024 avait dénoncé la présence de bases militaires françaises au Nord du pays, avec pour mandat de former et d’équiper des terroristes contre les pays de l’AES. Une déclaration confirmée par les propos du président français tenus lors de son discours devant les diplomates français.
Cette attaque meurtrière serait donc une manœuvre de la France, afin de pouvoir imposer son diktat au président béninois, Patrice Talon pour l’accélération de ses plans de déstabilisation des pays de la Confédération AES.
Alassane B.