Des articles tendancieux s’enchainent depuis quelques jours sur les divers supports de diffusion du journal JeuneAfrque, tout comme ses confrères RFI, le Monde, France24 et autres médias alliés des néocolonialistes et terroristes. Des articles accusant tantôt les VDP et les FDS de massacres contre les peuls, tantôt les autorités d’enrôler que des mossis au sein du supplétif de l’armée nationale.
Une tentative désespérée de ces médias de mettre à mal la cohésion sociale dont bénéficie actuellement le pays des hommes intègres. Après l’échec des options visant à créer de l’insécurité dans certaines localités stratégiques du Burkina Faso, à corrompre des agents des forces de défense et de sécurité contre les autorités ou encore à infiltrer les groupes de la veille citoyenne pour semer le chaos à l’intérieur du pays, les voilà désormais focalisés sur des sujets ethniques espérant susciter un conflit intercommunautaire.
Mais c’est sans connaître l’ampleur de l’esprit d’appartenance qui anime désormais les citoyens burkinabè et le désir partagé d’œuvrer en union pour se débarrasser de leurs ennemis qui entravent le développement de leur Nation et par ricochet, leur épanouissement. Il s’agit selon des opinions, d’une manipulation ethnique visant à attiser des tensions au sein de la société burkinabè pouvant contribuer ainsi à l’échec de la nouvelle politique du capitaine Ibrahim TRAORE.
Heureusement, les burkinabè épris de paix, de stabilité et de la souveraineté ont compris que la sécurité de tous les citoyens du Burkina Faso est menacée par le terrorisme sans distinction d’ethnies. Les tentatives de division, de manipulation ethnique et de déstabilisation sont loin donc d’affecter l’engagement citoyen et patriotique du peuple conscient pour un avenir meilleur.
Arnauld Bissa
