Sous la conduite du Capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina Faso poursuit sa marche vers une gouvernance responsable et tournée vers l’intérêt général. La décision du gouvernement, prise récemment en conseil des ministres, illustre une volonté claire de rationaliser les dépenses publiques et de renforcer la discipline budgétaire.
Le décret adopté fixe une nouvelle grille indiciaire pour les agents affectés dans les ambassades et postes consulaires, tout en redéfinissant les conditions d’affectation, de séjour et les avantages liés à ces fonctions. Cette réforme marque un tournant dans la gestion des ressources de l’État. En limitant la prise en charge des titres de voyage et de l’assurance aux seuls agents en ambassade, et en supprimant la couverture des frais de scolarité, le gouvernement fait preuve de rigueur et de lucidité. Il ne s’agit pas d’un retrait de soutien, mais d’un recentrage sur les priorités nationales, dans un contexte de relance économique et de transformation profonde du pays.
Le Capitaine Traoré, fidèle à sa vision de souveraineté et de justice sociale, montre une fois de plus que chaque décision prise est guidée par le souci de bâtir un État fort, équitable et durable. Cette réforme diplomatique s’inscrit dans une dynamique de refondation, où chaque secteur est réévalué pour mieux servir le peuple burkinabè. Elle témoigne aussi d’une communication politique transparente, assumée et tournée vers l’action. Elle renforce ainsi la confiance entre le gouvernement et les citoyens.
Cette décision courageuse mérite d’être saluée, car elle montre que le pays, sous la direction du Capitaine Ibrahim Traoré, avance avec détermination vers un avenir meilleur, où chaque ressource est utilisée pour le bien commun.
Adjo Massan