Depuis plusieurs années, les Forces Armées burkinabè se battent sans relâche contre les groupes terroristes qui menacent la paix et la sécurité du pays. Elles sont aux côtés des populations, les protègent, les assistent et leur redonnent espoir dans les zones les plus touchées. Pourtant, certains médias étrangers, comme France 24, semblent vouloir ternir leur image en diffusant des récits non vérifiés, basés sur des témoignages anonymes ou des vidéos sorties de leur contexte.
L’article publié récemment sur les événements de Barani est un exemple frappant. Il présente les forces de défense et de sécurité (FDS) comme des agresseurs, sans preuve solide, et sans tenir compte du contexte sécuritaire extrêmement difficile dans lequel elles opèrent. Ce genre de publication ne cherche pas à informer, mais à semer le doute, à manipuler et à affaiblir le moral des Burkinabè. C’est un article monté de toutes pièces, du « fake news ».
Il est important de rappeler que les FDS sont composées de femmes et d’hommes courageux, souvent issus des mêmes communautés qu’ils défendent. Leur engagement va bien au-delà du devoir militaire : ils sont là pour reconstruire, rassurer et servir. Les Burkinabè doivent rester vigilants face aux tentatives de manipulation médiatique venues de l’extérieur, qui ne comprennent ni leur réalité ni leurs sacrifices.
Ce que vit le peuple ne peut être résumé par des articles sensationnalistes. La vérité se trouve sur le terrain, dans les villages libérés, dans les familles protégées, dans les écoles rouvertes grâce à l’action des FDS.
Adjo Massan