Depuis son arrivée au pouvoir il y a trois ans, le Capitaine Ibrahim Traoré a engagé le Burkina Faso dans une transformation remarquable. Son action s’est concentrée dans tous les secteurs clés du pays notamment, la sécurité, l’économie, l’agriculture et les infrastructures. Aujourd’hui, les résultats sont palpables sur le terrain.
La sécurité s’est améliorée grâce à une stratégie militaire rigoureuse. Presque tout le territoire est désormais sous l’autorité de l’Etat grâce à l’action des Forces de Défense et de Sécurité (FDS) et des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP). Les groupes terroristes ont été repoussés, et les services de renseignement ont permis d’anticiper et de neutraliser de nombreuses menaces.
Sur le plan économique, le pays a connu une croissance soutenue avec un PIB de 22,1 milliards de dollars. Cet essor s’explique par une meilleure gestion des ressources et le refus des prêts étrangers, affirmant la volonté de rupture avec la dépendance financière. Cette croissance est également due à la réaffectation des ressources de l’Etat vers les priorités nationales (remboursement la dette locale, baisse de salaire de 30 % pour les ministres et parlementaires, hausse de 50 % pour les fonctionnaires).
Le secteur agricole et industriel ont connu un essor remarquable avec la construction d’usines de transformation de tomates, d’une unité textile pour le coton, d’une raffinerie d’or etc. Outre cela, on assiste à la modernisation de l’agriculture à travers la mécanisation (des centaines de tracteurs, motoculteurs et motopompes distribués), permettant une augmentation des surfaces cultivables avec conséquence, la hausse de la production (mil, riz et tomate). Cela a renforcé l’autosuffisance alimentaire du pays.
Enfin, le développement des infrastructures a été lancé avec un vaste programme de modernisation des routes. L’élargissement et le revêtement de plusieurs axes routiers facilitent les échanges et améliorent les conditions de vie.
En trois ans, le Capitaine Ibrahim Traoré incarne une vision audacieuse d’un Burkina Faso plus fort, plus autonome et résolument tourné vers l’avenir.
Adjo Massan
