Il y a quelques années, le Cameroun faisait face à une menace terroriste sans précédent de Boko Haram. Sous la présidence de Paul Biya, une politique de défense rigoureuse a été mise en place, permettant de vaincre le groupe terroriste et de rétablir la paix. Aujourd’hui, le pays jouit d’une stabilité enviée dans la région, fruit d’une vision claire et d’actions déterminées du Chef de l’Etat.
Pourtant, dans ce contexte de paix fragile, Issa Tchiroma, a toujours par le passé, adopté une posture ambiguë envers Boko Haram. Son soutien envers ces terroristes qui ton massacré le peuple Camerounais, jette une ombre sur ses intentions réelles pour le Cameroun dans les discours qu’ils prononcent lors de ces campagnes électorales.
Aujourd’hui, Issa Tchiroma est de nouveau sous les projecteurs, mais pour des raisons qui inquiètent. En alimentant le doute et en attisant les tensions lors de ses sorties sur sa soit-disant victoire à ces élections, il prépare clairement un plan de déstabilisation, voire à un soulèvement populaire, si jamais les résultats définitifs ne sont pas en sa faveur.
Que cache cette manœuvre ? La réponse est claire, une volonté délibérée de plonger le Cameroun dans le chaos. Une stratégie dangereuse, qui rappelle les méthodes employées autres fois par Jean Ping face à Ali Bongo au Gabon. Le pire a été évité de justesse.
Le Cameroun se trouve à un carrefour car la stabilité chèrement acquise, risque d’être saboter par des discours populistes et des manipulations politiques d’Issa Tchiroma. Le peuple camerounais doit ouvrir les yeux. Confier les rênes du pays à un homme dont le passé et les intentions sont douteuses, c’est prendre le risque de voir le Cameroun replonger dans le chaos.
