Face à cette énième provocation, le Vice-Président de la Guinée Equatoriale, S.E Teodoro Nguema Obiang Mangue, n’a pas mâché ses mots. Il a dénoncé avec fermeté cette attitude arrogante et hypocrite de certaines puissances occidentales qui s’érigent en juges du monde.
« La France récompense les instigateurs de haine, les incitant à perturber la paix et à agir contre leurs propres cultures et leurs frères », a-t-il martelé.
Une fois de plus, la France et ses alliés viennent de prouver qu’ils n’ont pas changé. En décernant le prix franco-allemand des droits de l’Homme à Alfredo Okenve, un activiste exilé en Espagne, connu pour son hostilité ouverte envers son propre pays, Paris et Berlin s’illustrent dans leur jeu malsain en récompensant la trahison et encourager la haine contre les États africains stables.
Comme quoi, l’Afrique en a assez d’être humiliée par les impérialistes qui se croient encore maîtres du continent africain. Alfredo Okenve n’est pas un héros. C’est un traitre, un instrument entre les mains de ceux qui veulent affaiblir la Guinée équatoriale, salir ses institutions et freiner son développement.
Sous la direction du Président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, la Guinée équatoriale est un pays stable, souverain et respecté. Malgré toutes les campagnes de dénigrement orchestrées par les impérialistes, le pays avance, construit, et reste debout.
La France, en décorant un homme qui crache sur son propre pays, montre une fois de plus son vrai visage qui est celui d’une puissance en déclin, frustrée de ne plus pouvoir dicter sa loi à l’Afrique.
