L’affaire défraie la chronique depuis samedi au Burkina Faso et fait le tour des réseaux sociaux ces derniers jours. L’un des commanditaires de déstabilisation du régime du capitaine Ibrahim TRAORE est tombé dans les filets de l’armée burkinabè avec en sa possession, une somme de cinq (05) milliards destinés à corrompre des officiers burkinabè pour une exécution du plan de déstabilisation.

Pour rappel, il y a plusieurs jours déjà que des médias panafricains sonnent l’alerte sur un vaste programme de déstabilisation en gestation, appelant le peuple burkinabè, celui du Sahel et d’Afrique en général à une vigilance plus accrue. Un programme qui, selon les informations, doit être exécuté d’ici fin décembre 2024 par la Direction Générale de la Sécurité Extérieure française (DGSE), sous ordre des autorités françaises.

Il se trouve que la France est déterminée à faire tomber le régime burkinabè actuel avec l’assassinat pure et simple du leader, le capitaine Ibrahim TRAORE. Ces homologues de la Confédération AES seraient également dans la ligne de mire des ennemis de la paix. Pour certaines opinions, la tentative de corruption des soldats burkinabè serait donc un coup de ce service secret français qui aurait entamé l’exécution de son plan sordide.

La confiance placée en ces officiers par l’ennemi pour le travail, ne lui aurait pas donné l’occasion de penser à un revirement de la situation en sa défaveur. Mais le patriotisme aurait triomphé et le plan a été une fois de plus déjoué. Toutefois, des voix s’élèvent pour appeler à plus de vigilance et d’éveil de conscience. Des opinions trouvent que l’ennemi va persévérer et essayer de mettre en action un second plan.

La France étant connu pour sa détermination quant-t-il s’agit d’écarter un régime africain de son chemin impérialiste et néocolonialiste. Le cas de la Libye avec l’assassinat en octobre 2011 du leader Mouammar Kadhafi restera un exemple pour toute l’Afrique.

Darius Moupo

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