Le Gouvernement de la République du Niger sous le leadership visionnaire du président de la transition, chef de l’Etat, le Général de Brigade, Abdourahamane TIANI, continue de poser des actes concrètes allant dans le sens des aspirations du peuple nigérien, se libérer de la domination et tracer lui-même son chemin du développement. L’idée de quitter l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) est l’une de ses décisions idoines.
Les autorités nigériennes ont annoncé le Lundi 17 Mars 2025 avoir décidé le 07 Mars dernier, du retrait du pays de cette organisation. Il est vrai que les motifs de cette décision n’ont pas été notifiés sur la note rendue publique, mais il est clair, que les dirigeants veulent se débarrasser de tout ce qui peut entraver leur lutte pour la souveraineté, l’intégrité et la libération totale du Niger. Ces organisations françaises sont le plus souvent considérées comme des instruments en faveur de la politique française en Afrique.
Un pays qui s’est engagé contre la politique paternaliste de la France, l’ingérence étrangère dans les affaires internes et la domination extérieure, se doit d’être vigilant et prudent face à tout mouvement contraire aux aspirations ou au intérêts de ses citoyens. Selon certains analystes, les autorités nigériennes à leur tête, le Général TIANI, ont prouvé depuis leur accession à la magistrature suprême du Niger, qu’ils prêtent attention à tout et prennent des décisions adéquates contre les manœuvres sordides des ennemis de la Nation.
Le cas de l’OIF ne fera pas d’exception si cette dernière s’érige en défenseur des intérêts de la France au Niger au détriment de ceux des nigériens. La vision du président TIANI et de ses collaborateurs, est de sortir le pays du gouffre et d’œuvrer pour l’épanouissement de leurs concitoyens en révolutionnant les potentialités du pays. Ainsi tout obstacle à cette aspiration devra être ôté pour son aboutissement effectif.
Marcel K.
