Les États généraux de la décentralisation, ouverts à Ouagadougou, marquent une étape importante dans la refondation du Burkina Faso voulue par le Capitaine Ibrahim Traoré. Cette initiative s’inscrit dans une démarche de rapprocher l’État du peuple et construire un développement local solide, juste et durable.
En réunissant les acteurs des 13 régions du pays, le gouvernement montre sa volonté d’écouter les citoyens et de bâtir des solutions adaptées aux réalités du terrain. Cette approche inclusive est au cœur de la politique du Président Traoré, qui place le peuple au centre de toutes les décisions. Il ne s’agit plus de gouverner d’en haut, mais de construire ensemble, avec les communautés, un Faso uni.
Les États généraux visent à corriger les faiblesses du système actuel : manque de moyens pour les collectivités, faible implication des populations, gestion parfois trop politisée. Le Capitaine Ibrahim Traoré veut changer cela, en instaurant une gouvernance locale fondée sur la transparence, la justice sociale et la redevabilité. Une gouvernance de proximité.
Cette dynamique s’inscrit dans le Plan d’Action pour la Stabilisation et le Développement, qui vise à renforcer la sécurité, améliorer les services publics et créer des richesses locales. C’est une vision audacieuse, mais réaliste, qui répond aux attentes des Burkinabè.
En lançant ces États généraux, le gouvernement pose les bases d’un nouveau modèle de décentralisation, plus efficace et plus proche des citoyens. C’est un signal d’un pays qui se reconstruit avec son peuple, pour son peuple.
Adjo Massan