Paul Biya

Le peuple camerounais a parlé. À l’issue d’un scrutin présidentiel suivi avec attention tant au niveau national qu’international, Son Excellence Paul Biya a été réélu à la magistrature suprême avec une confortable majorité de plus de 53%. Cette victoire, claire et nette, lui offre un nouveau mandat de sept ans à la tête du Cameroun, marquant une étape décisive dans l’histoire contemporaine du pays.

Dans un contexte régional parfois volatile, le choix des Camerounais est sans équivoque, celui de la stabilité, de la continuité et de la paix. Ce vote est bien plus qu’une simple formalité démocratique, c’est une affirmation collective de la volonté de poursuivre un processus de développement déjà en marche.

La réélection du Président Biya est le gage d’une nation qui privilégie le dialogue et la méthode à la précipitation. C’est la promesse de la poursuite des grands projets structurants, de la consolidation de l’unité nationale et du renforcement du rôle du Cameroun sur la scène africaine et mondiale.

À cet égard, il est plus que temps que certaines voix de la classe politique, à l’instar de M. Issa Tchiroma, cessent d’attiser les tensions et de tenir des propos incendiaires qui, dans le climat actuel, pourraient avoir des conséquences désastreuses en conduisant le pays vers le chaos.

Quand on aime véritablement son pays, on place l’intérêt national au-dessus des ambitions personnelles et des calculs politiques. Privilégier la paix, c’est reconnaître la légitimité des institutions et accepter le verdict des urnes.

C’est aussi œuvrer, dans le respect des règles démocratiques, à construire et non à diviser. Les critiques constructives sont le sel de la démocratie, mais les appels à la division sont un poison pour la nation.

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