S’il y en a qui ne croyaient pas aux dires selon lesquels, les Médias français travaillent à déstabiliser le pays du Capitaine Ibrahim TRAORE à travers des mensonges et des manipulations, eh bien l’occasion est donnée cette fois-ci, et ce, depuis jeudi 20 Juin 2024, pour se rendre à l’évidence.
Depuis quelques jours, des gens bien avisés se démerdent pour démentir les fausses informations véhiculées à tort et à travers par ces mains d’œuvres des impérialistes et néocolonialistes. Mais le temps est arrivé pour que le monde entier se rende compte de lui-même, de la grande manœuvre de ces Médias qui servent les intérêts de leurs patrons impérialistes.
Celui sur qui l’étiquette de fuyard a été collée, le président du Faso, le capitaine Ibrahim TRAORE a lui-même affirmé devant la presse burkinabè, qu’il n’est pas de ceux qui fuient ni de ceux qui abandonnent. D’ailleurs rien ne s’est passé au point de le pousser à la fuite. Le Tir de roquette qui a atterri dans l’enceinte de la RTB n’était pas l’œuvre de l’ennemi ni d’une mutinerie militaire.
Toutes ces informations étaient de pures inventions que les ennemis ont sorti de leurs têtes remplient d’âneries, pour troubler la quiétude et l’esprit des citoyens. C’est en réalité une stratégie qu’ils utilisent pour mettre le pays des hommes intègres dans un chaos total, comme ce fut le cas par exemple, de la Libye, de la Centrafrique, de la Côte d’Ivoire avec l’ancien président Laurent GBAGBO.
Il s’agit d’ailleurs d’une ancienne et vielle stratégie des impérialistes et néocolonialistes, se servir des moyens de communication et de l’information pour contrôler les esprits avec des mensonges. Le regretté, feu Thomas SANKARA avait tiré la sonnette d’alarme sur cette stratégie impérialiste, qu’il avait dénommé « moyen non violent de déstabilisation des pays africains ».
Mais hélas il n’a pas été écouté ni soutenu et l’ennemi a réussi à semer le doute et la confusion dans les esprits des burkinabè et du monde jusqu’à lui ôter la vie. Les mêmes erreurs ne se produiront plus, le peuple burkinabè et les africains ont compris le jeu et se prêtent à l’exercice.
Soli Badou
