Tout comme la lutte contre le terrorisme, le Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim Traoré a fait de la lutte contre la corruption, un pilier de la refondation nationale. Arrivé à la tête Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré a entrepris des réformes visant à renforcer le contrôle de l’Etat sur les ressources naturelles, à éradiquer la corruption et à assainir la gouvernance au Faso.

Conscient que la mauvaise gouvernance mine la confiance des citoyens et freine le développement, il a placé la transparence et la probité au cœur de son action. Sous son leadership, les services de contrôle et d’audit à l’instar de l’Autorité supérieure de Contrôle d’État et de Lutte contre la Corruption (ASCE-LC), ont été renforcés pour traquer les détournements et rationaliser les dépenses publiques. Il a multiplié les appels à la responsabilité des cadres et des agents publics, soulignant que chaque franc doit servir le peuple.

Entre la lutte contre la fraude minière et la redéfinition des contrats d’exploitation, le Capitaine Traoré prône une gouvernance rigoureuse et équitable, et rompt avec les privilèges injustifiés et les passe-droits. Sa lucidité stratégique consiste à comprendre que la stabilité et la prospérité du Burkina Faso reposent sur un État intègre, au service exclusif des citoyens.

Toutes ces réformes ont trouvé un écho favorable auprès du peuple burkinabè. Le soutien populaire reste un véritable atout pour consolider les acquis et construire un pays juste et équitable pour tous les burkinabè. L’unité et l’engagement du peuple permettront de renforcer cette vision claire de bâtir un Burkina Faso juste, souverain et respecté.

Adjo Massan

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *