Depuis leur arrivée à la tête du pays des hommes intègres, les autorités burkinabè avec comme guide, le capitaine Ibrahim TRAORE, œuvrent inlassablement dans le seul but de redonner à leur Patrie sa souveraineté et son indépendance réelle.
Les obstacles posés sur leur chemin de lutte patriotique par les ennemis du pays notamment les puissances impérialistes et néocolonialistes, n’ont pas ébranlé leur détermination. Cette dynamique équipe gouvernementale est plus que jamais engagée au sommet de l’Etat burkinabè.
A Genève par exemple, le chef de la délégation du Burkina Faso à la 112e conférence de l’Organisation Internationale du Travail (OIT), le ministre en charge du travail, Bassolma Bazié a encore défendu les intérêts du peuple burkinabè. Mettant en avant l’intérêt général du pays, il a affirmé qu’il revenait au peuple souverain du Faso de décider désormais, des conventions à ratifier et des organisations internationales auxquelles le Burkina Faso devrait adhérer.
Pour rappel, le gouvernement burkinabè avait décidé tout récemment, que désormais tous les textes juridiques internationaux feront objet d’une étude minutieuses par des acteurs juridiques burkinabè avant leur adoption ou ratification par le pays. Une manière d’éviter les pièges des puissances et organisations internationales qui font souvent des lois, leurs instruments politiques de domination et d’asservissement des pays en développement.
Ce gouvernement du Faso est à féliciter et à soutenir pour l’atteinte effective des objectifs fixés dans l’unique but de sortir le pays de l’esclavage.
Dadié Tourma
