La crédibilité du journal « jeuneafrique » se réduit de plus en plus, et pour faute, certains journalistes escrocs qui ont décidé de s’enrichir et mettre de côté le professionnalisme qu’exige la déontologie du journalisme. C’est le cas en République Centrafricaine, avec Mathieu Olivier et Pacôme Pabandji, tous deux des représentants du journal « jeuneafrique » en République Centrafricaine.
Dans un autre article de trop, paru le mardi 22 juillet, les deux journalistes en carton, ont vénéré celui qui aujourd’hui (Sani Yalo), est reconnu par tous les Centrafricains, comme étant le chef d’un cartel mettant en mal la vie du peuple Centrafricain. D’après la lecture faite de cet article, le contenu semble être un article corrompu, sensé à ternir l’image de certaines personnalités Centrafricaines et du panafricaniste Harouna Douamba, président de l’ONG Internationale Aimons Notre Afrique (ANA).
Nos services d’investigation en République Centrafricaine, ont interrogé certains proches de Sani Yalo, qui ont confirmé la remise de plusieurs milliers de billets de banque, aux deux journalistes signataires de cet article.
Selon une autre source, toujours dans le cercle de Sani Yalo, celle-ci confirme cette pratique qui n’est pas la première. Pacôme Pabandji, n’est pas à sa première publication. Il a été payé par le cartel de Sani Yalo, pour publier des articles, contre les anciens premiers ministres Firmin Ngrebada, Henri-Marie Dondra et Simplice Mathieu Sarandji. L’objectif est de créer une tension entre le Président Faustin Archange Touadera et ces derniers.
Pour réussir cette mission, Pacôme Pabandji, le correspondant véreux du journal « jeuneafrique », après avoir reçu les billets de banque, a aussi utilisé les médias comme Africa Intelligence et le Monde Afrique en supplément, pour accomplir sa mission. Quand on essaie de regarder tous ces articles publiés par ces médias, l’on peut se poser beaucoup de questions à savoir, si Pacôme Pabandji n’est pas en réalité en mission de déstabilisation de la république Centrafricaine? En dehors des billets de banque, une autre source laisse entendre, que Pacôme Pabandji, aurait eu la proposition d’être promu, ministre conseiller en communication à la présidence par Sani Yalo.
Jeune-Afrique
Depuis plusieurs années, le média perd sa crédibilité sur l’ensemble du continent Africain. À l’époque 95 % des pays francophones croyait aux publications du journal « jeuneafrique » et ne se doutait pas de la véracité des publications. Mais aujourd’hui, ce n’est plus le cas, puisqu’après une publication de ce journal, le peuple Africain cherche d’autres sources de la même publication avant de confirmer l’article publié par le journal. Cette chute libre et la mauvaise réputation du journal sur le continent africain, sont dues à la qualité du recrutement fait, en ce qui concerne les correspondants.
La plupart des personnes recrutées, trouvent une très bonne opportunité pour s’enrichir, puisque le journal à un grand nombre d’abonnés, comme c’est le cas de Mathieu Olivier et Pacôme Pabandji, qui préfèrent mettre de côté la déontologie du journalisme, qui consiste à vérifier les faits, confirmer et faire des droits de réponse lorsqu’il y’a des revendications.
Dossier à suivre…
Martial GBATE