« Pour les impérialistes occidentaux et les néocolonialistes français, tous les moyens sont bons pour atteindre le but ultime, celui de toujours garder un contrôle strict sur les richesses du continent », disait un panafricaniste dans son analyse sur la situation géopolitique actuelle. Et quand ce contrôle semble leur échapper comme c’est le cas ces dernières années dans la région du sahel, des stratégies sont développées afin de renverser la tendance.
Leur cible actuelle serait les leaders révolutionnaires de la Confédération AES. Ces dirigeants qui ont décidé de prendre le destin de leur pays en main, écartant de leur chemin tout obstacle des ennemis en première ligne, les dirigeants français. Après les échecs répétitifs de ces ennemis de la paix, une nouvelle stratégie serait en train d’être mise en place. Il s’agirait principalement selon les informations, de la multiplication des espions sur les réseaux sociaux.
Il faut noter également que les soutiens à la confédération AES, notamment les panafricanistes font ces derniers temps objet de persécutions de plus en plus récurrentes voir des menaces de mort. Leurs publications, leurs conférences, bref leurs messages de soutien, d’éveil de consciences et de sensibilisation, partagés sur les réseaux sociaux, seraient désormais visés par les espions français.
D’après nos sources, un budget colossal est prévu pour cette mission qui mobilise plusieurs personnes chargées de brouiller les esprits et de manipuler les internautes qui s’intéressent en grand nombre aux messages des panafricanistes. Il s’agit selon les informations, de faire des commentaires contradictoires sous des publications, dans le but de semer le doute ou de détourner l’attention du peuple de son principal objectif.
Des stratégies se développent au jour le jour contre le peuple révolutionnaire de Liptako-Gourma et il est plus que jamais nécessaire pour les populations épris de la souveraineté et de la liberté de redoubler de vigilance.
Samuel Dassou