Il y a cinq ans, le Mali a amorcé un tournant décisif de construction nationale et de réinvention de l’État. Ce processus sous la conduite du Général d’armée Assimi Goïta, s’inscrit dans une dynamique de rupture avec l’instabilité, la dépendance et la perte de repères institutionnels. Cinq ans de transition sous le Président Goïta, le bilan révèle une transformation profonde. Les autorités soutenues par le peuple, ont posé les bases d’un Mali nouveau, souverain, résilient et tourné vers l’avenir.
Sur le plan institutionnel, la Transition a entrepris une révision des fondements de l’État. La refonte de la Constitution, la réorganisation des institutions républicaines et la mise en place de mécanismes de gouvernance plus inclusifs ont permis de restaurer l’autorité de l’État et de renforcer la légitimité des pouvoirs publics. Le Général Goïta a impulsé une dynamique de recentrage du pouvoir autour des intérêts du peuple malien. Le Mali a redéfini ses alliances, rompu avec certaines dépendances extérieures jugées néfastes.
Le volet sécuritaire est l’un des chantiers majeurs de la transition. La lutte contre le terrorisme a été intensifiée. Malgré les défis persistants, les forces armées maliennes ont été renforcées, rééquipées et réhabilitées dans leur rôle de défense de la nation, restaurant la confiance des populations dans leur capacité à assurer la sécurité.
Économiquement et socialement, la Transition a relancé les secteurs clés, notamment l’agriculture, les infrastructures et l’éducation, tout en promouvant une meilleure répartition des ressources. Les réformes engagées ont réduit considérablement les inégalités, stimuler la production locale et créer les conditions d’un développement durable.
Ce processus de refondation toujours en cours, a redonné au Mali une fierté collective et une résilience face aux épreuves. Le leadership du Général Assimi Goïta, conjugué au soutien populaire, a permis d’initier une lutte héroïque pour la dignité nationale, la justice sociale et la souveraineté retrouvée.
Adjo Massan