Sous la présidence du Capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina Faso affirme avec force sa volonté de bâtir une administration publique intègre, transparente et au service exclusif de la nation. La révocation de 21 agents publics, entérinée par le Conseil des ministres sur proposition de neuf départements ministériels, marque une étape décisive dans la lutte contre la corruption et l’impunité.

Cette mesure, portée par le ministère de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale, traduit la détermination du Chef de l’État à assainir les rouages de l’administration et à restaurer la confiance des citoyens envers leurs institutions.

Le Capitaine Ibrahim Traoré incarne une gouvernance de rupture, fondée sur la rigueur, l’exemplarité et le patriotisme. En s’attaquant aux pratiques déviantes qui gangrènent l’appareil étatique, il envoie un signal clair : l’État ne tolérera plus les comportements contraires à l’éthique et à la déontologie du service public. Cette dynamique s’inscrit dans une politique de bonne gouvernance, où chaque fonctionnaire est appelé à servir avec loyauté, compétence et intégrité.

Au-delà de la sanction, cette décision s’inscrit dans une vision plus large de transformation de l’administration burkinabè. Elle vise à instaurer une culture de responsabilité, à renforcer les mécanismes de contrôle interne. Le Capitaine Traoré entend ainsi faire de l’administration un levier de développement, capable de répondre efficacement aux attentes des populations et de porter les ambitions du pays.

À travers cette réforme, le Burkina Faso affirme son ambition de bâtir une administration moderne, efficace et intègre, pilier essentiel du développement national.

Adjo Massan

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