L’ONG Internationale Aimons Notre Afrique (ANA) et la Coalition Afrique Engagée (C.A.E), rebondissent via le secrétaire général de l’organisation, monsieur Bekki BENAMEUR, sur le dossier du coup d’Etat manqué de 2017 en Guinée Equatoriale, contre le régime au pouvoir de Son Excellence Teodoro OBIANG NGUEMA MBASOGO, à travers deux communiqués, dont le premier est adressé à l’attention de l’Assemblée Nationale de la République Centrafricaine et le second, fait état du dépôt d’une plainte auprès de la cour internationale de la justice, contre le gouvernement Centrafricain, toujours sur ce même dossier, qui condamne le sulfureux Sani YALO comme étant le principal cerveau et le financier de ce coup d’Etat manqué.

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Sani YALO

Selon le premier communiqué, l’ONG Internationale Aimons Notre Afrique (ANA) interpelle l’Assemblée Nationale de la République Centrafricaine, sur le non respect de la condamnation prononcée contre le coupable Sani YALO à 20 ans de prison, par la justice Equato-guinéenne pour les faits qui lui sont reprochés, qui pourrait entraver les liens qui lient la République Centrafricaine et la République de la Guinée Equatoriale et bien sûr d’autres pays de la CEMAC, pourraient se sentir concernés par cette affaire.

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A L’ATTENTION DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE CENTRAFRICAINE

Le second communiqué, fait état d’une plainte qui sera déposée dans un esprit panafricaniste, auprès de la cour internationale de la justice contre le gouvernement Centrafricain, toujours dans l’affaire de monsieur Sani YALO et le coup d’Etat manqué de décembre 2017, en Guinée Equatoriale.

En effet, cette plainte vise à amener le gouvernement Centrafricain, à mettre en exécution cette condamnation de 20 ans de prison, contre monsieur Sani YALO, qui a été reconnu coupable, pour avoir été le cerveau et le financier de cette affaire.

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DÉPÔT DE PLAINTE

Selon le secrétaire général de l’ONG Internationale Aimons Notre Afrique (ANA), monsieur Bekki BENAMEUR, le rebondissement par ces deux communiqués, vise à informer l’opinion internationale, l’Union Européenne, l’Union Africaine, les institutions internationales, le gouvernement de la République Centrafricaine, le gouvernement de la Guinée Equatoriale, la CEMAC ainsi le peuple Centrafricain et Equato-guinéen, sur les démarches entreprises par l’organisation, pour la mise en œuvre de cette sentence contre Sani YALO, car le non respect de celle-ci, pourrait causer d’énormes soucis diplomatiques entre ces pays de la même sous-région.

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