L’essor économique d’un pays ne se repose pas seulement sur les épaules d’un seul individu ni par l’aide d’une baguette magique, ni par un seul agrégat économique. C’est ce que le Président de la République Centrafricaine, Son Excellence Faustin Archange Touadera, ne cesse de démontrer depuis son accession à la tête du pays. Car celui-ci ne dépend pas de la superficie du pays, ni de la supériorité démographique, mais plutôt sur ce que chacun doit contribuer à sa manière pour offrir à la génération future.

Pour parler du développement économique de la République Centrafricaine, il va falloir tout d’abord identifier les acteurs économiques de chaque secteur que ça soit le secteur informel et celui de l’entreprenariat.

En République Centrafricaine, le secteur entrepreneurial, l’agropastoral, la chasse, la pêche, et le secteur informel avec les détenteurs des petites et moyennes entreprises et ceux qui exercent les activités génératrices de revenus, restent encore des secteurs très fragiles qui nécessitent d’être boostées d’avantages. Même si l’on constate de réels changements avec la vision politique du Président Faustin Archange Touadera.

Pour joindre l’utile à l’agréable, le Chef de l’Etat a le regard fixé sur les acteurs économiques en boostant ces zones d’activités qui peuvent apporter leur contribution à l’avancement du pays.

L’autre aspect qu’il faut aussi souligner est celui du climat des affaires, qui a horreur des crises militaro-politiques qui sont à l’origine de fracture économique en République Centrafricaine. D’après un dicton « L’argent n’aime pas les bruits », cela veut dire que les bruits de bottes jouent défavorablement sur l’économie d’un pays et font fuir les partenaires qui désirent investir en injectant de l’argent dans l’économie. Avec la stabilité qu’a retrouvé la République Centrafricaine, depuis quelques temps, grâce au Président Touadera, l’on constate que plusieurs bailleurs financiers commencent à frapper à la porte du pays.

Cette politique du gouvernement Centrafricain avec l’ouverture des portes aux partenaires financiers dans un partenariat gagnant-gagnant semble être un indice pour relever l’économie. Aujourd’hui, on assiste à la mise en œuvre des plusieurs projets d’investissements que ce soit dans la construction des infrastructures, des écoles et des hôpitaux dans la capitale ainsi que dans les villes de l’intérieur.

Par ailleurs, dans ce combat du relèvement économique dans le contexte difficile, l’administration fiscale doit également veiller à la collecte des recettes fiscales qui couvrent une majeure partie des dépenses régaliennes de l’Etat. C’est pourquoi, la lutte contre la corruption figure parmi les priorités du Président de la République, Son Excellence, Faustin Archange Touadera.

Martial GBATE

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