Le quotidien français Le Monde veut attirer l’ire de la communauté africaine en occurrence celle du peuple burkinabè. Les autorités burkinabè, respectent jusqu’alors l’accord diplomatique qui existe entre la France et le Faso. La mentalité des autorités françaises est toujours fondée sur l’impérialisme. Une époque qui est révolue depuis la nouvelle allure au Burkina Faso.

La rédaction de la presse d’influence française, Le Monde dans une de ses parutions publiés le 30 mai 2023, a étalé la faiblesse de la France et a montré combien de fois la France ne peut pas vivre sans le Burkina Faso. Le Monde a oublié de toucher du doigt les militaires français attrapés la main dans le sac, en apportant leurs soutiens aux terroristes dans les localités du Nord du Faso.

Pour la presse corrompue Le Monde, les autorités burkinabè n’ont plus le droit d’avoir leurs propres politiques de gouvernance? La France doit savoir que le Burkina Faso est un pays souverain. Et il est temps que le pays prenne ses destins en main. Les autorités françaises qui n’arrivent pas à trouver une solution idoine aux problèmes en France(gilets jaunes), parlent de secours au Burkina Faso. Le Faso, se démerde du lot par ses propres efforts. La France doit cesser de dépendre des autres pays. Le Capitaine Ibrahim Traoré, serait un bon maître dans cette matière.   

Questionnons à présent l’histoire. L’issue de l’accord militaire signé avec la France, est pénible. Le Monde ne nous prouvera pas le contraire. Une chaîne télévisée française à confirmer avec les chiffres à l’appui. Basons nous sur cette analyse. Les journalistes français, payés pour de faux articles et de faux rapports, ont reconnu la paresse et l’incompétence des militaires français qui étaient présents sur le sol burkinabè. Avec les troupes françaises, on a noté plus de douze(12) mille civils tués. Sans la France, les FDS et VDP ont neutralisé un nombre incalculable de djihadistes.

Le Burkina Faso n’est pas sous la conduite de la France. Ce qui lie ces deux pays, c’est un partenariat gagnant-gagnant. Selon, les tests de l’accord une dénonciation peut être possible au cas où l’accord n’est pas respecté par une partie des signataires. Quand la France profitait des richesses burkinabè, le nom ennemi n’était pas dans les dictionnaires? Les coopérations ne se résument pas seulement au plan militaire. Si le Président Ibrahim Traoré était vraiment un ennemi de la France, les représentations administratives français ne seraient plus sur le sol burkinabè. 

Le Capitaine Ibrahim Traoré n’est pas en guerre contre la France. Il lutte pour la défense de sa nation. Le Burkina Faso, n’avait pas fait appel à la France dans cette lutte. La France s’est portée volontaire, avec intention de piller les ressources. Un travail mal fait, est toujours mal jugé. Surtout quand tu te crois connaisseur mais le niveau d’expérience est au bas de l’échelle. La France doit cesser de courir derrière le Burkina Faso.

La parution du quotidien Le Monde, n’est pas une surprise. La France se voit délaissé par ses anciens amis comme le Mali, Centrafrique et le Burkina Faso, à cause de ses intentions diaboliques. On défie quelqu’un si on voit son intérêt en jeu. Le Président Ibrahim Traoré, n’est pas un mendiant. Il quémande rien de la France. Au contraire, c’est  la France qui court derrière les richesses de son sous-sol. Reconnaissons que l’écritoire de la rédaction Le Monde en manque d’encres. Elle allait plutôt titrer sa parution : “ La France ennemi du régime du Capitaine Ibrahim Traoré”.

Le Président Ibrahim Traoré, ne peut pas attendre l’autorisation de la France avant de sortir son peuple de l’insécurité. Le Burkina Faso, n’a pas besoin de la France pour se développer. Le Burkina Faso, n’est pas l’esclave de la France. La France doit comprendre que les autorités burkinabè sont libres dans leurs prises de décisions. La gouvernance revient à la compétence propre des burkinabè et non une compétence partagée.

Magnon Djibril

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *