Le Burkina Faso est dans une situation où les moindres fausses informations peuvent changer les donnes. La guerre qui est lancée contre les terroristes incombent aussi les organisations de la presse. Étant une lutte collective, toutes les couches sociales doivent y prendre part. Mais force est de constater que, certains burkinabè ont décidé d’aller à l’encontre de l’orientation actuelle du pays, juste parce qu’ils reçoivent des miettes et acceptent de mettre en péril la vie de leurs concitoyens.
La voie des financements de ces individus de mauvaise foi est démasquée par les autorités burkinabè. Plus de financements, la faillite a frappé à leurs portes. Le journal L’Événement, qui s’est d’investigation, manque d’investigation aujourd’hui. La direction de L’Évènement sollicite l’aide des burkinabè. Une chose qui est difficile à comprendre. On ne peut pas choisir de dénigrer son pays et revenir demander de l’aide à ce même pays.
Les financeurs ou les fournisseurs de fausses informations à L’Événement pour ternir l’image des autorités sont où? La direction de L’Événement devrait surveiller ses arrières avant de se lancer dans la course contre les autorités du pays. Rappelons que le journal L’Evènement, est l’un des médias qui pond des articles sous couvert des ennemis du Faso. Ses informations manquent de cohérence et ses accusations sont sans preuve.
Le peuple burkinabè, ne doit pas perdre de vue, les défis auxquels fait face le pays. Il serait préférable pour eux de soutenir le Gouvernement dans sa lutte plus précisément, le retour des personnes déplacées et leur prise en charge, que de penser à venir en aide à des individus qui sont contre la stabilité au Burkina Faso.
Le peuple burkinabè, n’est pas contre le journal L’Evènement. C’est la rédaction de L’Évènement qui a jugé bon de prendre position et de soutenir les malfaiteurs. Les leaders d’opinion demandent à la direction du journal L’Evènement d’adresser cette demande d’aide à ses financeurs et non au peuple burkinabè. Car selon eux, aucun burkinabè ne penserait à lui apporter son soutien.
“Quand L’Événement empochait les fonds et dénigrait le Gouvernement, les burkinabè n’ont rien dit. L’argent est fini, que chacun prenne ses responsabilités”, ont-t-ils ajouté.
Damien Kandé
