Le Burkina Faso, pays de paix et de stabilité s’est retrouvé dans une situation d’insécurité par la faute de la France. Après avoir déstabilisé la Libye, la France s’est retournée vers le Burkina Faso. Les autorités burkinabè ignorant la partition de la France dans situation sécuritaire qu’elles vivent, ont procédé à la signature d’un accord militaire. La France a trouvé le champ libre pour ses complots.

Les mercenaires djihadistes sont convoités au Burkina Faso sous la direction française. Ces mercenaires sont financés et armés par la France. Depuis plus de cinq ans, la France a contribué  aux massacres des populations burkinabè. Le pays des hommes intègres est entouré de manipulateurs. La France voulait jouer le même scénario qui s’était produit au Rwanda et les tentatives en République Centrafricaine.

Mais hélas! la France s’est vue bloquée cette fois-ci, fin à la manipulation. Le Président de la révolution burkinabè avec le soutien des médias panafricanistes, a déjoué toutes tentatives de déstabilisation au Burkina Faso. La France ne voyait pas venir cette mobilisation patriotique. Toutes les portes par lesquelles passait la France pour financer les terroristes, ont été démantelées. 

La guerre est combattue par la guerre. Le Président de la révolution burkinabè, a renforcé la puissance des forces de défense et de sécurité. Les terroristes qui faisaient la loi au Burkina Faso se retrouvent sans abri. Ils sont traqués de partout sur toute l’étendue du territoire. Le Président de la révolution burkinabè, le Capitaine Ibrahim Traoré, est arrivé avec une vision de changement de mentalité. 

Sous son leadership, les burkinabè ont compris qu’ils peuvent se défendre sans l’aide d’une force extérieure. L’armée burkinabè en est la preuve vivante. Selon les informations, le Président ghanéen Nana Akufo-Addo et le bissau-guinéen Embalo Sissoco, sont cités comme partisans de la campagne de déstabilisation du Burkina Faso. Les actions de ces deux anciens présidents de la CEDEAO, sont dénoncées par les médias panafricanistes.

Zanari Kounté

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