Le massacre des populations de Zaongo dans le centre-nord du Burkina-Faso par les groupes terroristes le 8 novembre dernier, ne doit pas rester impuni. Les forces de défense et de sécurité doivent multiplier les offensives pour mettre fin aux exactions commises par les djihadistes sur les paisibles citoyens.

Les Faits

Le 6 novembre, les forces combattantes ont mené offensive dans quelques villages du centre-nord du pays, y compris Zaongo, dans le cadre de la reconquête du territoire. L’opération a été un succès et a permis de neutraliser des dizaines de terroristes et de récupérer d’importantes logistiques.

Alors, après l’opération des forces de sécurité, le 8 novembre, des groupes terroristes ont mené une incursion dans le village au cours de laquelle, ils ont tué femmes, enfants et même des nourrissons, disant que les populations ont signalé leurs positions aux forces combattantes le 6 novembre dernier lors de l’offensive de l’armée.

Ce sont les faits réels, contrairement aux informations qui circulent sur les réseaux sociaux et que certains médias publient, accusant l’armée burkinabè et les VDP d’avoir tué plus d’une centaine de civils. C’est le lieu d’intensifier la lutte déjà enclenchée contre ces groupes armés, pour rétablir la paix et la sécurité pour le bonheur des populations.

Pour information, le village de Zaongo est une zone de transit de terroristes lié au groupe de soutien à l’Islam.

Monia Tiam

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