« Le Burkina Faso est un pays qui tient ses engagements, c’est un pays qui est en train de lutter pour être stable », avait lancé le Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim Traoré lors de l’installation du président du Conseil national du patronat burkinabè dans ses fonctions. Le Burkina-Faso est en train de lutter contre le terrorisme. Un engagement continu que le président de la transition, l’armée burkinabè, les Volontaires pour la défense de la Patrie (VDP) et le peuple tout entier, manifestent de diverses manières.

Conscient du fait que la lutte contre le terrorisme nécessite détermination, unité et stratégie, le président Traoré ne ménage aucun effort pour poursuivre ce qu’il a commencé, il y a un an. Dans un élan de solidarité, de patriotisme et de souveraineté, le peuple burkinabè a d’emblée apporté son soutien multiforme à la politique sécuritaire et de développement de la transition. En un an, de la sécurité au développement, le chemin a été long mais les réalisations sont convaincantes et tangibles.

Cet engagement continu et cette volonté et détermination de libérer le pays de l’hydre terroriste, se traduisent au jour le jour par des actions fortes de la part du gouvernement de transition. Entre autres, la mobilisation de plus en plus d’hommes sur les fronts, l’acquisition des matériels de guerre de dernière génération, le fonds patriotique…, et aujourd’hui la création de l’AES par le Burkina, le Mali et le Niger.

L’AES, cette force sous régionale qui est une volonté des présidents des trois pays, veut mutualiser les efforts et les ressources contre l’ennemi commun (terrorisme) et les commanditaires et aussi, capitaliser les acquis en termes de politique, de diplomatie et développement, pour la croissance économique, la sécurité et la paix au Sahel. Résolument et surement, le Burkina-Faso se dirige vers son objectif et surtout, se libère du joug terroriste et impérialiste.

Adjo Massan

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