Ils ont d’abord commencé par les attaques des comptes des communicateurs. Ensuite, ils font circuler sur les réseaux sociaux des vidéos et photos montées de toutes pièces, laissant croire à des massacres des civils par les forces combattantes lors des opérations de reconquête de certaines localités de Djibo.
Les ennemis de la nation et leurs valets locaux sont revenus à la charge après leur échec dans leur tentative de prendre Djibo en otage le 26 novembre dernier, premièrement par les armes et après par la communication au travers du journal français, Le Monde.
Cette guerre de communication que la France d’Emmanuel Macron a encore lancé par le truchement de ses hommes de main, les terroristes, devrait mettre en alerte le gouvernement et le peuple qui constitue la veille citoyenne dans le pays.
Un plan de déstabilisation en cours ? Cette mission de la France, exécutée par les terroristes a pour but de jeter du discrédit sur les forces combattantes et préparer à une insurrection populaire en vue de renverser le gouvernement du Capitaine Ibrahim Traoré. Mais là encore, ils vont échouer.
Le peuple burkinabè doit être vigilant pour ne pas céder à ce énième coup de Paris comme, le souligne le communiqué du gouvernement. Aux autorités, elles doivent renforcer la surveillance, les services de renseignement sont appelés à faire le guet.
Adjo Massan