Pour les autorités algériennes il n’est pas nécessaire de mener une guerre contre les terroristes qui endeuillent les familles au Mali. La meilleure manière de finir avec le terrorisme, c’est un accord de paix entre les autorités du pays et les rebelles terroristes que l’Alger considère comme des séparatistes.

Le ministre algérien en charge des affaires étrangère, Ahmed Attaf, l’a clairement affirmé, juste après les attaques meurtrières d’une coalition de terroristes au Nord du Mali, en Juillet, soutenues par l’Ukraine d’autres alliés, promoteurs du terrorisme au Sahel. Apparemment, les autorités algériennes luttent pour leurs intérêts au Mali. Il se trouve que pendant plus de six (06) décennies, l’Algérie pille les ressources minières du Mali, en complicité avec la France.

Révélation de certains analystes de la question sahélienne, avec des preuves tangibles. L’occupation du Nord Mali notamment la région de Kidal par les forces maliennes, est un danger pour le pays d’Abdelmadjid Tebboune. C’est une zone malienne située à la frontière avec l’Algérie et est très convoitée en raison de sa richesse en or, pétrole, ressources en eau, gaz.

Ce sont ces nombreuses ressources naturelles appartenant aux maliens, que l’Algérie exploitait allègrement depuis 1962 selon les informations de sources crédibles. Après le départ de la région, des forces françaises qui partageaient ces richesses avec l’Algérie, et suite à l’occupation d’une partie de la Région par les forces maliennes, les chances de continuer à se servir de ce précieux sésame, a chuté pour l’Algérie qui se retrouve désormais en difficulté.

D’ailleurs, selon les mêmes sources, depuis que les vannes ont été coupées par les autorités maliennes, la production pétrolière et gazière algérienne a dégringolé de 76%. Probablement ce que cherche à éviter l’Alger, en soutenant le terrorisme au Sahel notamment au Nord du Mali. Puisque selon les informations, ce pays sert de base arrière pour les terroristes qui menacent la paix, la stabilité et la sécurité dans le pays voisin, le Mali.

Robert Tamou

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