Le président du Faso, le capitaine Ibrahim TRAORE et ses collaborateurs seraient toujours dans le viseur des détracteurs du pays. Engagés dans une dynamique de libération du pays des hommes intègres des mains des groupes terroristes qui endeuillent les familles et des impérialistes et néocolonialistes qui, pendant des décennies ont pillé et endeuillé le pays tout entier, les patriotes burkinabè se seraient fait des éternels ennemis.
Des ennemis qui guettent tout leur mouvement, afin de pouvoir renouveler à chaque fois leurs actions contraires, loin d’encourager la mobilisation pour une lutte commune. Les moindres décisions et actions des autorités burkinabè en faveur de la souveraineté, de l’indépendance et de la bonne gouvernance de leur pays, sont toujours traduites comme mauvaises ou non efficaces par ces ennemis qui désirent voire le pays perdurer dans une menace sécuritaire.
Les Médias français en complicité avec des valets locaux, font tout pour manipuler les consciences et monter le peuple épris de paix contre leurs autorités qui ne souhaitent qu’une chose, sauver et protéger à tout prix les intérêts du pays bafoués depuis longtemps au bénéfice de quelques personnes et des étrangers. Des actes contraires à cette lutte ne visent qu’un objectif, faire chuter le régime révolutionnaire du Faso tout comme ceux des autres pays de l’AES.
Comme le président du Faso l’a bien signifié dans l’une de ses sorties médiatiques, les Médias propagandistes se servent d’une partie des formations vraies pour créer et amplifier la situation dans le but de tromper la vigilance des populations et semer le doute. La dernière publication biaisée de RFI sur une affaire de réquisition des citoyens pour la lutte contre le terrorisme, en dit long sur ses intentions machiavéliques contre les autorités du Faso.
Alors pour des observateurs, la réaction du peuple a chaque publication déformée, mensongère ou diffamatoire doit être déterminante pour faire échouer toute tentative de division et de manipulation.
David Baloum