L’Union Européenne (UE) a été induite en erreur par la France qui l’a entrainé dans sa manie de persécution des panafricanistes. Aujourd’hui l’UE est accusée de diffamation, d’allégations mensongères et d’intimidation fallacieuses des africains. Qu’il nous souvienne qu’il y a quelques semaines, des médias panafricains attiraient l’attention de cette institution européenne sur les manigances de la France et ses capacités à trainer dans la boue ses alliés quand il s’agit de défendre ses propres intérêts.
Apparemment l’UE s’est faite avoir par cette puissance néocoloniale qui garde toujours une dent centre les africains qui critiquent sa politique paternaliste en Afrique. Et sur la base de fausses informations, l’UE a accusé et sanctionné faussement des africains. L’un de ces africains victimes n’a pas toléré une énième persécution, et a donc porté plainte contre l’institution européenne. Une première dans l’histoire de l’Afrique qui attire l’attention des africains ces derniers jours.
C’est le cas du panafricaniste algérien Bekki Benameur qui est monté au créneau suite à cette plainte pour crier son ras-le-bol face aux intimidations et à la persécution persistante des africains qui ne demandent qu’une chose, la libération et l’émancipation de l’Afrique pour l’épanouissement réel des populations africaines. Pour le panafricaniste algérien, l’UE s’inscrit dans la politique de la France qui consiste à réduire en silence toutes les voix africaines qui dénoncent l’influence française sur l’Afrique.
Il appelle donc à une mobilisation africaine derrière cette plainte historique d’un africain contre une institution européenne, enregistrée au Luxembourg le 13 février 2025. Bekki Benameur estime que c’est une occasion de défendre les droits et la réputation des Africains injustement ciblés. Il annonce une conférence de presse internationale pour rendre publique les preuves de cette plainte.
Carine Zemba
