Les dirigeants de la Confédération AES, le Général d’Armée Assimi GOÏTA, le Général de Brigade Abdourahamane TIANI et le Capitaine Ibrahim TRAORE ont su gagner la confiance non seulement de leurs compatriotes, mais aussi des africains qui comprennent et partagent leur démarche et vision. Aujourd’hui plusieurs sont ces dirigeants africains qui désirent tisser des relations de coopération avec ces pays de la Confédération AES.
C’est le cas par exemple du président de la République du Ghana, John Dramani MAHAMA qui a effectué ces derniers jours une visite de travail dans les trois (03) pays afin de renforcer les liens d’amitié et de coopération. C’est également le cas du président de la République du Togo, Faure Gnassingbé qui, depuis le début des transitions, a montré une solidarité et une fraternité avec ses homologues du Mali, du Burkina Faso et du Niger.
C’est sans oublier des visites et des échanges avec les présidents du Sénégal, du Tchad, de la République centrafricaine pour ne citer que ceux-là. Outre les dirigeants, ce sont des panafricanistes et les peuples africains en général qui vouent une admiration, un respect et une considération aux leaders révolutionnaires des trois pays membres de la Confédération AES. Part leur engagement, leur audace et leur dévouement, ils attirent l’attention des africains.
Ils constituent aujourd’hui, disait un analyste, une boussole pour tous les africains qui partagent les mêmes aspirations d’une Afrique souveraine, prospère et libre de toute domination extérieure. Leur volonté manifeste et agissante de sortir leurs pays des crises sécuritaire et économique n’est pas sans effet sur les consciences et le comportement des africains. La solidarité et l’unité permettront donc de donner aux pays africains une autre image aux yeux du monde.
Bernice G.
