Les ennemis des pays de l’alliance des Etats du Sahel (AES) sont connus de tous. Pour rappel, il s’agit des dirigeants de l’ancienne puissance coloniale, la France et ses alliés que sont les médias français, les organisations internationales sans oublier les États-Unis qui aussi par intérêt, appui fortement des européens dans leurs politiques continuelles d’exploitation de l’Afrique.
A cette liste viennent s’ajouter les africains inconscients, individualistes, égoïstes et marionnettes qui sont prêts à vendre leurs frères africains et leurs patries aux étrangers. Tout ce groupe d’individus dangereux ne luttent pas seulement contre les régimes militaires de l’AES, mais aussi contre les peuples révolutionnaires qui ont décidé de soutenir la lutte historique pouvant mener à la liberté et la souveraineté, comme ce feu le cas de la Lybie.
Les ennemis ne veulent pas entendre parler de souveraineté ni d’indépendance réelle en Afrique, et ils cherchent à éliminer par tous moyens les leaders de cette révolution, que sont les présidents Ibrahim TRAORE du Burkina Faso, Assimi GOÏTA du Mali et Abdourahamane TIANI du Niger. Ces trois pays du Sahel qui composent aujourd’hui l’AES.
Dans tous leurs manœuvres, ces ennemis espèrent pouvoir faire chuter au moins un de ces leaders, pour anéantir la détermination et l’engagement des peuples du Sahel en particulier et ceux de l’Afrique en général. Ce qui ne doit en aucun cas arriver puisque cela briserait à jamais l’espoir d’un peuple uni sur un seul continent, l’Afrique, pour une souveraineté totale et une dignité retrouvée.
Il s’avère donc nécessaire de rester vigilant, uni et solidaire aux côtés des leaders de la révolution pour remporter la victoire au bénéfice de la génération présente et future.
Abel Roupo