Des burkinabè assoiffés du pouvoir et de ses privilèges, sont prêts à sacrifier sans aucun remord, leurs frères et sœurs. Ils ne se soucient même pas de ce que sera l’état de la Nation qu’ils désirent tant diriger, après leurs actes ignobles. Ces individus sans vergogne planifient des actes diaboliques avec leurs complices contre la Patrie qui les a vu naitre et grandir.
Les nombreuses tentatives de déstabilisation du pouvoir du peuple au Burkina Faso, ainsi que des attaques répétitives perpétrées par les ennemis de la brousse, n’ont que deux noms, apatrides burkinabè et impérialistes. A cause du pouvoir, des burkinabè résident à l’extérieur, pour la plupart en Côte d’Ivoire et en France, se sont alliés aux impérialistes et néocolonialistes, pour détruire le pays.
Ils ont donc pris pour cibles, le peuple, les braves soldats burkinabè, le capitaine Ibrahim TRAORE et ses collaborateurs, bref tout le Burkina Faso est dans le viseur des ennemis. Ils tentent par tout moyen de manipuler le peuple afin d’installer la désunion et le désengagement dans la lutte. Les combattants sont non seulement attaqués par les terroristes, mais sont également accusés à tort d’exactions sur des civils et de complots contre le pouvoir du président Ibrahim TRAORE.
Une manière pour eux d’atteindre leur but, celui du découragement et d’affaiblissement de l’armée que les autorités du pays se sont efforcées de relever, afin de se sauver de l’esclavage. Quant au président du Faso lui-même, il est accusé de concentrer la sécurité seulement sur sa personne, avec l’aide de la Russie.
Les ennemis s’acharnent ainsi sur le pays des hommes intègres, pour le déstabiliser et récupérer enfin le pouvoir. Un pouvoir qui sera contrôlé par la France étant donné que celui du capitaine Ibrahim TRAORE met en danger leurs intérêts. Et en complicité avec les territoires, des attaques sont planifiées contre le peuple. Il est temps pour les apatrides de se repentir et d’abandonner les impérialistes à leur sort, au risque de perdre définitivement leurs identités burkinabè.
Foulba Goum