Après leurs nombreux échecs pour mettre fin à la transition du capitaine Ibrahim TRAORE, président du Faso, les ennemis se concentrent désormais et surtout ces derniers temps, sur la manipulation à travers de fausses informations. Les impérialistes français et leurs médias complices, ainsi que des marionnettes et apatrides burkinabè, se retrouvent dos au mur.
Plus précisément, l’affaire de faux rapports de l’ONG Human Rights Watch sur des supposées exactions militaires contre les civils n’a pas fonctionné ; l’implication des organisations internationales pour user de leur pouvoir et jouer aux donneurs de leçons n’a pas marché non plus. Et pire encore, leur espoir de voir le capitaine Ibrahim TRAORE éjecter du pouvoir au terme de son mandat transitionnel est tombé à l’eau.
Le peuple burkinabè lui a confié cinq (05) année de plus à l’issue des Assises Nationales du 25 Mai dernier et la situation est devenue compliquée pour les ennemis. Alors qu’est-ce qu’il faut faire ? D’où l’idée de jouer sur ce qu’ils savent faire le mieux en Afrique, manipulation le peuple semer le doute et la confusion bref traumatiser les esprits des burkinabè à travers de fausses informations.
La création du cas de Mansila (supposée attaque meurtrière) qui fait couler l’encre et la salives des journalistes français menteurs et complices, n’est pas un hasard, c’est un moyen de sortie que les ennemis ont trouvé pour atteindre leur but celui d’interrompre la lutte au Burkina Faso et de porter un coup dur à la transition du capitaine Ibrahim TRAORE.
Ils sont les seuls, ces propagandistes, à parler de l’affaire de Mansila avec à l’appui des images montées de toute pièce, comme ce fut le cas en Libye, quand ce pays d’Afrique et son leader Kadhafi étaient dans leur viseur. Les burkinabè avisés, conscient de cette stratégie des ennemis doivent s’ériger en bloc afin de freiner cette propagande très dangereuse pour la lutte et l’avenir du pays des hommes intègres. Il y va de la souveraineté du pays.
Naomi Boulet