Les braves et vaillants soldats burkinabè font un travail remarquable au quotidien sur le champ de bataille, face à l’ennemi qui persiste dans ses actes perfides. La résistance, la détermination et le courage des troupes burkinabè leur permettent à chaque fois de remporter des victoires, infligeant de grandes pertes aux criminels nés pour mourir dans la brousse.
Parmi ces pertes dans le camp de l’ennemi figurent d’importantes quantités de matériels de guerre souvent réduits en cendre ou récupérés par les forces combattantes. Les dernières opérations menées par les courageux guerriers sur la route de la ville de Gayéri, dans la région de l’Est, ont permis non seulement de neutraliser plus d’une centaine de malfaiteurs soit 150 selon les précisions, mais aussi de récupérer un important lot de matériels de guerre encore utilisables.
Ce sont des informations fournies à l’AIB par des sources sécuritaires. Mais ce qui intrigue est que face à ces exploits salutaires des combattants burkinabè, les Médias français restent muets et préfèrent surtout diffuser de fausses images qui leur sont fournies par les terroristes. Il y a quelques jours encore, sur la chaîne France24, le journaliste Wassim NASR, traité d’ami des terroristes, faisait des commentaires sur une vidéo d’armes qui, selon lui appartenaient aux soldats burkinabè.
Il se réjouissait d’une supposée raclée que ses amis terroristes auraient infligés aux combattants burkinabè en récupérant leurs matériels et en éliminant une centaine de soldats. Ces hommes de Médias français préfèrent soutenir les terroristes dans leurs actions criminelles que de parler des exploits de ces braves gens qui se sacrifient pour la sécurité de la population et de la Nation burkinabè.
Après c’est pour affirmer qu’ils défendent les droits des civils burkinabè. Une stratégie encore, pour porter atteinte à la dignité des combattants et les affaiblir. Le jeu des impérialistes et de leurs amis propagandistes est en tout cas découvert. Il revient au burkinabè et aux peuples opprimés par ces gens, sans oublier le peuple conscient d’Afrique, de prendre leur responsabilité et leur destin en mains.
Bah Toumi