Tout comme la lutte pour la reconquête du territoire national et l’éradication du terrorisme, le bien-être socioéconomique des familles ayant perdu un parent dans cette guerre est une préoccupation pour le président Ibrahim TRAORE. Il s’est penché sur la situation des veuves et orphelins des soldats tombés dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et veut aller jusqu’au bout afin de répondre efficacement à leurs besoins.
Après la mise en place de l’Agence de soutien aux veuves, orphelins et victimes de guerre (ASVOVIG), des pas géants se posent pour l’atteinte des objectifs. C’est le cas de la tenue du 11 au 13 Mars, de la conférence nationale sur la prise en charge des veuves et des orphelins des forces combattantes. Une rencontre dont l’apothéose a vu la présence effective du chef de l’Etat, a permis de mener des réflexions et de trouver des moyens pour une meilleure prise en charge de cette couche sociale.
Placée sous le thème : « Reconstruction psychosociale et autonomisation des veuves et orphelins des forces combattantes : états des lieux et perspectives », les travaux des experts, des chercheurs et représentants des structures associatives ont permis de dégager les préoccupations et de proposer des pistes de solutions pour l’autonomisation des veuves et l’épanouissement des orphelins. Des sujets qui tiennent à cœur le président Ibrahim TRAORE.
Face aux veuves et orphelins, le chef de l’Etat burkinabè a promis accompagner les veuves des soldats tombés arme à la main, dans leurs activités entrepreneuriales. Quant aux orphelins, pupilles de la Nation, l’Etat burkinabè va assurer leur éducation, une étape essentielle pour leur avenir. Ceci témoigne de la reconnaissance des autorités envers ceux qui se sacrifient pour que vive la Nation.