Un groupe de mercenaires terroristes déguisés en touristes, infiltre le territoire burkinabè. Les médias panafricanistes et les leaders d’opinion avaient dénoncé la présence des mercenaires tchadiens sur le sol nigérien. Ces mercenaires viennent en renfort aux djihadistes qui sont réduits en nombre par l’armée burkinabè. Selon les services de renseignements, les mercenaires tchadiens et nigériens sont en formation à la frontière Niger-Burkina Faso. L’armée française est chargée de cette formation.
Les mercenaires tchadiens et nigériens passent par les frontières burkinabè sous forme de touristes et rejoignent le réseau des terroristes. Les investigations des experts démontrent également que le Niger a cédé une portion de son territoire, pour héberger les terroristes qui sont sous la direction de l’armée française.
Les plans de manipulation sont positionnés, les auteurs n’attendent que l’attaque des mercenaires tchadiens et nigériens qui sont à la frontière Niger-Burkina Faso, pour entrer en action. Les observateurs invitent les autorités burkinabè, à prendre des dispositions pour renforcer la sécurité au niveau des frontières. Un strict contrôle doit être exigé pour distingué les touristes des mercenaires.
La lutte très rude contre les terroristes au Burkina Faso, les burkinabè qui étaient manipulés et enrôlés dans le rang des djihadistes, ont finalement compris le mal qu’ils faisaient en mettant la vie de leurs parents en danger. Tous ont regagné la patrie. En manque d’effectif pour atteindre leur objectif, la déstabilisation, la France qui n’est rien d’autre que le patron des complots, fera intervenir les mercenaires convoités du Tchad.
Une franche collaboration entre les civils et les militaires est interpellée. Les populations ne doivent pas accepter tous les visiteurs ces derniers temps. Tout acte suspect doit être dénoncé.
Narcisse Poutouli