Tout comme au Rwanda où la complicité au génocide de la France qui a causée plus d’un million de morts essentiellement de l’ethnie Tutsi, n’est plus à prouver, au Burkina Faso, voulant absolument se venger du refus catégorique des autorités de la transition de céder au désir de la France et de prôner la souveraineté et la liberté de son peuple, la France tend un piège à l’Union Européenne et l’ONU pour atteindre son objectif.
Pour mieux convaincre les deux institutions, la France met en place des complots visant à faire massacrer le peuple par des terroristes habillés en tenues militaires et laisser croire à ses partenaires que ce sont des soldats Burkinabé, qui massacrent une ethnie qui a donc besoin d’être sauvée.
Un complot criminel qui sera officiellement validé par des organismes de droits de l’homme, qui eux aussi ont toujours œuvré du côté de la France, pour l’aider à atteindre ses objectifs.
On peut citer tout récemment le cas flagrant de la Libye, qui malheureusement n’a pas bénéficié de soutien du peuple Africain. Ces organismes de droits de l’homme ont validé des complots de crimes, inventés par la France. S’en est suivie, la propagande des médias français, France 24, RFI, le Monde etc., relayée par certains médias français qui portent des noms Africains.
Il n’est plus donc question de croiser les bras et d’accepter tous les complots criminels et terroristes de la France. Ayant découvert, le mode opératoire de cette ancienne puissance coloniale, qui est fortement dénoncé, elle laisse croire à une campagne désinformation relayée par des faux médias en ligne. C’est l’hôpital qui se moque de la charité. Affaire à suivre…
Alain BAMBA