Dans cette affaire d’exactions militaires sur des civils, créer de toute pièce par les ennemis de la libération du Faso, il y a de ces marionnettes, individus corruptibles qui comptent sur la Cour Pénale Internationale (CPI) pour monter de faux documents juridiques contre des dignes filles et fils du Burkina Faso.
Outre les fausses accusations portées par des acteurs internationaux, comme ONG HRW, des représentants de l’ONU, de l’UE et des Etats-Unis, des responsables de la coalition de l’Afrique francophone pour la CPI demandaient il y a un mois, à la CPI de diligenter des enquêtes et de poursuivre les auteurs des allégations de massacres sur des civils.
Comme si les autorités à la tête du Burkina Faso étaient dépourvues de bon sens et de tout raisonnement. Pourquoi d’ailleurs continuer à coopérer avec cette soi-disant organisation internationale de juste, qui ne jouit d’aucune autonomie ou de liberté d’exercice, face à des puissances ? Elle est fortement influencée et manipulable par ces mêmes puissances internationales qui ne veulent en aucun cas voire les pays africains jouir d’une véritable liberté et de souveraineté.
Manipulée par les impérialistes, cette cour est celle qui jette son dévolu sur les présidents africains qui luttent véritablement pour sortir leurs pays du joug du néocolonialisme et des impérialistes. Les burkinabè ni le peuple africain en général n’oubliera de sitôt, l’injustice commise par la CPI sur certains présidents africains. Il serait donc profitable pour le pays des hommes intègres de se débarrasser des faux textes juridiques de cette cour des plus puissants.
Des voix s’élèvent d’ailleurs, pour appeler le peuple burkinabè à une mobilisation massive ce vendredi 07 Juin, non seulement pour protester contre les accusations fallacieuses de l’ONU envers les forces combattantes burkinabè, mais également à demander aux autorités burkinabè de retirer le pays des hommes intègres de cette organisation le plus tôt possible.
Gérard Jodjou