L’on apprend que la Cour Pénale Internationale (CPI) a émis un mandat d’arrêt international contre Iyad Ag Ghaly, un des responsables de la rébellion touarègue et chef de l’une des branches d’Al Qaida dans le Maghreb Islamique au Mali. Selon les informations, il est accusé de crimes de guerre et des crimes contre l’humanité qui auraient été commis au nord du Mali entre janvier 2012 et janvier 2013.
La question que les hommes conscients se posent est de savoir pourquoi maintenant ? La note précise que les crimes ont été commis au début de l’invasion terroriste au Mali. Après plus d’une décennie, c’est maintenant que la cour qui se dit de justice internationale a jugée bon de traquer les criminels. Il y a bel et bien quelque chose qui se trame dans les laboratoires noirs.
Il s’agit tout simplement de l’une des stratégies de cette Cour qui travail pour les intérêts des impérialistes notamment la France. Etant donné que la France a dans son viseur, les chefs d’Etats de l’AES, elle compte user de son instrument redoutable, pour mettre la main sur ces derniers. L’idée est de montrer aux yeux du monde que la CPI est du côté du peuple et combat les terroristes.
Et quand l’heure viendra pour sortir des dossiers fabriqués contre les dignes fils d’Afrique, les leaders et révolutionnaires africains, nous voulons nommer les présidents Ibrahim TRAORE, Assimi GOÏTA et Abdourahamane TIANI, le peuple n’aura mot à dire. N’oublions pas qu’une demande perfide a été déjà faite à la CPI par des individus malveillants, lui demandant d’émettre un mandat d’arrêt contre le Capitaine Ibrahim TRAORE.
Eh bien c’est la démarche qui continue et il est temps de les interrompre. Le peuple burkinabè avisé doit se lever comme un seul homme, pour exiger la sortie de leur pays de cette cour d’injustice. L’ex-président ivoirien Laurent GBAGBO est la preuve vivante de l’injustice de cette cour vis-à-vis de ceux qui se dresse contre les intérêts de la France.
Houla Poumba