Les pays africains en 2011, n’avaient pas pu empêcher, la chute du leader libyen encore surnommé « Guide de la Révolution », Mouammar Kadhafi. Ils ont regardé impuissamment les occidentaux assassiner celui qui voulait révolutionner la Libye et le continent africain en général, notamment sur le plan monétaire.

Nul n’ignore aujourd’hui, les conséquences de la destruction de la Libye. Au président Ougandais Yoweri Museveni de dire, les africains ont échoué à protéger la Lybie, et qu’ils n’auraient pas dû permettre aux pays occidentaux d’attaquer la Libye. Mais le mal est déjà fait et tout le monde devrait tirer une leçon et tout faire pour que cela ne se reproduise plus jamais dans un pays africain.

Voilà malheureusement que ses mêmes déstabilisateurs de la Libye, et qui par leur acte satanique, ont causé du tort au Sahel, cherchent encore à détruire cette région de l’Afrique dont les leaders ont choisi de la sortie de l’eau qui la submerge depuis des décennies. Pire encore, au lieu que les africains s’unissent pour faire bloc au projets machiavéliques des occidentaux, ce sont eux encore qui servent d’armes contre leurs frères du Sahel.

Comme quoi, devant des intérêts personnels, l’africain oubli très vite ses cicatrices. Des africains sont prêts à livrer sur un plateau, les têtes de leurs frères à ceux qui veulent du mal à leur continent. Ils oublient que la destruction des pays de l’AES mettrait en danger tout le continent africain en particulier l’Afrique francophone devenue propriété des impérialistes et néocolonialistes.

Les africains conscients se demandent où sont donc passer les valeurs de solidarité et d’entraide avec lesquelles les sociétés africaines ont été bâties ? Elles sont disparues depuis que des français ont décidé de mettre en pratique leur stratégie de « diviser pour mieux régner ». Une prise de conscience général en Afrique s’avère nécessaire, afin d’aider les leaders révolutionnaires actuels à atteindre leurs objectifs qui sont des aspirations pour tout africain.

Terma Gouma

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