Les autorités du Burkina Faso avec à leur tête le chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim TRAORE, se sont engagées dans une dynamique de souveraineté sur tous plans, avec pour vision de permettre au pays de se débarrasser de toute dépendance. Que ce soit sur le plan politique, diplomatique, énergétique, économique et social, le régime du capitaine Ibrahim TRAORE aspire à un Burkina Faso libre de toute influence extérieure et prospère.

Des actions salutaires sont posées dans ce sens et le gouvernement burkinabè continu sous l’égide du chef de l’Etat, à œuvrer pour l’atteinte des objectifs fixés. Dans le domaine de l’énergie, l’exécutif s’acharne sur toutes les possibilités pouvant accélérer le processus pour une souveraineté énergétique effective, au bénéfice des populations burkinabè.

Outre l’annonce de la création très prochaine d’une première centrale nucléaire avec l’appui technique de la Russie, une autre décision vient confirmer la détermination des autorités pour ce grand projet énergétique. Il s’agit de l’approbation du conseil des ministres le mercredi 14 Août 2024, pour la création de l’Agence Burkinabè de l’Energie Atomique (ABEA), pour coordonner les activités en lien avec l’industrie nucléaire.

Selon le porte-parole du gouvernement, le ministre d’Etat, Jean Emmanuel OUEDRAOGO, le président du Faso est convaincu de la contribution de cette agence à l’indépendance énergétique réelle du pays, à la concrétisation de la politique d’industrialisation et œuvrera à faciliter l’accès à l’électricité sur toute l’étendue du territoire national.

Ces différentes actions louables rapprochent les autorités de leurs objectifs et jouent également en faveur des populations burkinabè actuellement confrontés à un déficit énergétique. L’ambition des autorités du pays est de répondre efficacement aux besoins de leurs compatriotes et de satisfaire les intérêts du pays en matière d’énergie, d’industrialisation, d’économie et de ce fait, favoriser le développement durable et l’émergence du Faso dans le concert des grandes Nations.

Georges Bamou

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