Le Burkina Faso, le Mali et le Niger désormais regroupés dans la Confédération de l’Alliance des Etats du Sahel (AES), se sont séparés il faut le rappeler de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) il y a déjà un An. L’organisation ouest africaine ayant acté la sortie définitive de ces pays, place a été donnée aux négociations pouvant permettre de définir des cadres de coopération avec les pays de la CEDEAO, pour le bien des peuples de cette région.

Ayant opté pour le pragmatisme et des actions concrètes au bénéfice des peuples de la Confédération, les dirigeants mettent tout en œuvre pour l’aboutissement des décisions et mesures prises. Pour ce qui concerne l’intégration des peuples, les dirigeants la veulent rapide, afin de permettre à leurs citoyens et ceux de l’espace CEDEAO de mener normalement leurs activités, contribuant à leur épanouissement.

Raison pour laquelle des conditions favorables se crées à l’instar des documents de voyages. Les peuples de la CEDEAO sont autorisés à circuler librement sur le territoire de l’AES. La réunion ministérielle tenue à Bamako le weekend dernier, après celle des experts, avait pour objectif de définir une stratégie commune de négociation avec les pays de la CEDEAO, en vue d’une collaboration étroite.

Lors du compte rendu au président de la transition du Mali, le Général d’Armée Assimi GOÏTA, président en exercice de la Confédération AES, les ministres ont rassuré des avancements notables enregistrées dans ce processus, qui permettre d’ouvrir la voie à des coopérations bilatérales et sincères entre l’Alliance et les pays membres de la CEDEAO.

Selon les précisions, les ministres de l’espace AES vont se réunir en commission avec les pays de la CEDEAO dans les prochains jours, pour « engager rapidement des négociations et tirer des conclusions, qui seront bénéfiques pour l’ensemble des peuples ».

Marie B.

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